Le tout digital vs la fin du print… balayer les idées reçues

Afficher une page pendant 3 minutes sur un écran consomme plus d’énergie que la production de sa version papier.

1 facture électronique envoyée par internet libère autant de CO² que la production et l’envoi de 15 factures au format papier.

Un internaute français effectue près de mille requêtes web par an, ce qui correspond à l’émission de 287 000 tonnes équivalent CO², soit plus de 1,5 million de km parcourus en voiture ! (ADEME)

En 2040, les émissions mondiales de gaz à effet de serre générées par l’industrie des TIC, seront de l’ordre de 14 %.

Le digital est éphémère, on l’adore un instant puis on l’oublie l’instant d’après.

Contrairement au papier, il n’a pas de texture, ni d’odeur auquel se rattacher.

Le digital est intrusif. Très souvent non consentis, les mailings atterrissent tout de même dans votre boîte de réception. Ceux autorisés incitent à une réponse immédiate.

Le digital est massif. A l’inverse des quantités maîtrisées des supports papier, les supports digitaux peuvent être envoyés en nombre avec une grande facilité. Les contenus numériques sont tellement nombreux que les internautes n’y prêtent que très peu d’attention. 

Le digital est victime de l’infobésité. Trop d’information tue l’information !

Un support papier se lit, se relit, s’étudie, se prête… Sur un bureau ou sur une table, il sera vu plusieurs fois par le destinataire.

Pour peu qu’il soit qualitatif et original, le print donne immédiatement une impression de sérieux et de fiabilité ; il marquera les esprits et sera souvent conservé.

Le print est démocratique et sans discrimination : un canal de communication physique auquel n’importe quelle personne peut être exposée, quels que soit sa classe sociale, son mode de vie, son âge ou encore son lieu de vie.

Dans un environnement où la fracture numérique s’accentue sans cesse, le retour apaisé et la résistance aux éditions papier accompagne un ras-le-bol de la (sur)connexion numérique obligatoire.

Seules les pratiques agricoles et l’élevage sont responsables de 90 % de la déforestation mondiale.

L’industrie papetière française utilise du bois d’éclaircie, non destiné à l’industrie d’ameublement ou de construction, mais aussi 30 % des chutes de bois des scieries et jusqu’à 60 % de papier recyclé.

97% du bois utilisé vient de France.

Le papier peut être recyclé jusqu’à 7 fois et il est biodégradable.

Après traitement, les usines françaises produisant le papier restituent l’eau qu’elle puise dans l’environnement à près de 93 %. 

Le label PEFC garantit que le papier utilisé est issu de sources responsables participant à la gestion durable des forêts.
Les forêts françaises croissent de 0,7 % par an en moyenne (ONF).

Faux ! en communication éditoriale aussi, le recyclage des contenus a du bon, comment ?

• Miser sur la cohérence visuelle, mêmes couleurs, mêmes typos, même univers graphique 

• Recycler du print sur les réseaux sociaux en jouant sur la force du visuel : vidéo, image, motion design ou podcast. Pas de changement sur le fond, mais sur la forme.

• Jouer « l’exclusivité » sur les réseaux sociaux en racontant, par exemple, les coulisses de l’entreprise, le making-off, un témoignage…

• Nourrir un cycle vertueux permettant aux différents médias de se répondre, et de s’enrichir mutuellement. 

• Le moment de parution d’un support print doit être le temps fort de la communication sur les réseaux sociaux en n’oubliant pas les tags !

L’alliance de l’imprimé et du numérique est aujourd’hui synonyme de résultats marketing et de retour sur investissement.

60 % des personnes recherchent une marque en ligne après avoir un reçu un courrier.

9 personnes sur 10 se souviennent d’une marque après avoir reçu sa publicité dans leur boîte aux lettres.

Les campagnes faisant appel aux magazines constatent une amélioration de 161 % en acquisition de clients.

L’association du catalogue papier et des publicités en ligne améliore de 31 % les résultats commerciaux.

Le publipostage fait progresser de 12 % la valeur moyenne des commandes en ligne.

Alors vive le mix Digital/Print !

TERZA RIMA, atelier de communication digitale et imprimée l’a bien compris et le met en œuvre depuis de nombreuses années. Notre vision 360°, tant dans le design que dans la mise en place d’un plan stratégique de communication multi-supports, permet de rencontrer cette complémentarité et cette efficacité entre le print et le digital.